Les 23 et 24 juin 2016, la troupe a présenté sa pièce "En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire" au LFA. Peut-être faisiez-vous déjà partie des spectateurs?
L’AG théâtre du LFA a réuni, dès la rentrée 2015, une vingtaine d’élèves de la section collège autour de Madame Cara et Madame Schüssler.
La pièce choisie, il fallait encore l’adapter à notre particularité d’école bilingue, c’est-à-dire pouvoir la jouer en deux langues. Dès le mois de janvier, nous avons pu distribuer les rôles et commencer la répétition, après nous être longuement entrainés à l’improvisation. Notre week-end théâtre au Schluchsee en avril nous a permis de faire un grand bond en avant dans la conception de notre pièce encore sans titre. Une des difficultés majeures résidait dans le fait qu’il fallait jouer à un rythme très rapide en deux langues. En effet, il s’agit dans la pièce d’un metteur en scène obnubilé par le manque de temps, qui accélère sans cesse le tempo et contraint ses acteurs à jouer à un rythme endiablé.
Le 23 et le 24 juin, la troupe était fin prête pour présenter tambour battant au LFA, la pièce désormais baptisée «Hat jemand mal Zeit? En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire». Les rires des spectateurs qui ont résonné lors de ces deux soirées ont été notre plus belle récompense.
L’AG théâtre du LFA a réuni, dès la rentrée 2015, une vingtaine d’élèves de la section collège autour de Madame Cara et Madame Schüssler.
La pièce choisie, il fallait encore l’adapter à notre particularité d’école bilingue, c’est-à-dire pouvoir la jouer en deux langues. Dès le mois de janvier, nous avons pu distribuer les rôles et commencer la répétition, après nous être longuement entrainés à l’improvisation. Notre week-end théâtre au Schluchsee en avril nous a permis de faire un grand bond en avant dans la conception de notre pièce encore sans titre. Une des difficultés majeures résidait dans le fait qu’il fallait jouer à un rythme très rapide en deux langues. En effet, il s’agit dans la pièce d’un metteur en scène obnubilé par le manque de temps, qui accélère sans cesse le tempo et contraint ses acteurs à jouer à un rythme endiablé.
Le 23 et le 24 juin, la troupe était fin prête pour présenter tambour battant au LFA, la pièce désormais baptisée «Hat jemand mal Zeit? En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire». Les rires des spectateurs qui ont résonné lors de ces deux soirées ont été notre plus belle récompense.