Lycée Franco-Allemand Freiburg im Breisgau

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Barcamp am DFG/Barcamp au LFA

 

Erstes Schul-Barcamp am DFG

Am 10. Juli fand an unserer Schule zum ersten Mal ein sogenanntes “Barcamp” statt. Die Idee dieser Veranstaltung stammt aus der Silicon Valley in den USA, als einigen Mitarbeitern einer Firma aufgefallen ist, dass die besten Ideen in der Kaffeepaus entstanden und nicht in den zahlreichen offiziellen Meetings. Daher der Name Barcamp. 

Darunter versteht man eine Konferenz, die spontan organisiert wird, das heißt die Themen werden nicht im Voraus bestimmt, als Abwechslung zu den klassischen Meetings, bei der ein Vorsitzender die Präsentation vorbereitet.

Es gelten ein paar Regeln, die für einen geschmeidigen Ablauf sorgen: Damit eine möglichst gleichberechtigte Atmosphäre herrscht, sollen auch Lehrer geduzt und beim Vornamen genannt werden. Als nächstes soll jeder in seiner Muttersprache sprechen, damit auch jeder am Gespräch problemlos teilnehmen kann. Sollte einen die Konversation nicht interessieren, kann man austreten und in eine andere Session gehen. Die Sessions können entweder unter einer Form eines Impulsvortrags, einer Diskussion oder eines Workshops gestaltet werden.

Ziel dieser Veranstaltung ist ein konstruktives Gespräch zum Sammeln guter Ideen.

Barcamp : Organisation

   Le lundi 10 juillet, les classes de 4e à 2nde du DFG/LFA se sont retrouvées afin de participer à un “Barcamp”. Le Barcamp est un système d’échange qui tient son origine des entreprises de la Silicon Valley:  c’est lors des pauses que la majorité des idées et des solutions étaient prises. Les discussions sont ouvertes, les participants peuvent soumettre leurs opinions, projets… Le tout, dans un contexte convivial ; lors de cette matinée d’échanges, un buffet a été mis à disposition par les élèves afin de renforcer l’ambiance agréable, comme lors des pauses autour d’un café que pouvaient faire les employés de la Silicon Valley. 

   Le thème abordé à l’occasion de cette matinée était: 

“Que faut-il/dois-je changer pour me sentir bien/mieux au DFG”

   Les élèves devaient ainsi trouver des thèmes de sessions de discussion afin de répondre à la problématique. Les idées étaient foisonnantes: 

- ajouter du mobilier extérieur tel que des bancs

- mettre en place une boîte pour communiquer anonymement avec les professeurs

- améliorer la cantine en y ajoutant des micro-ondes par exemple

- faire des tournois de sport

Cependant, pour mener à bien cette matinée, les professeurs encadrants avaient mis en place un certain nombre de règles. 

Ces derniers ont demandé aux élèves de se tutoyer et de tutoyer les professeurs. Les élèves devaient également parler dans leur langue maternelle pour faciliter l’échange. Les sessions de discussion devaient durer 45 minutes et se présentaient sous trois formes différentes: une présentation spontanée, une discussion ou un atelier. Durant ces sessions tous les participants étaient invités à participer afin de rendre la discussion plus agréable et d'acquérir davantage d’idées et de solutions. Les hôtes de session devaient organiser et administrer la session afin que cette dernière soit la plus productive possible. Les élèves avaient la possibilité de quitter une session lorsque celle-ci ne leur convenait plus: “la loi des deux jambes”.

Finalement, les élèves étaient invités à rendre un compte-rendu en ligne à la fin de la matinée.  

Barcamp : interview et avis

Lors du Barcamp du LFA, nous avons eu l'occasion de discuter avec de nombreux élèves afin d'obtenir leur avis sur ce projet, et nous avons recueilli leurs impressions et leurs propositions pour l’améliorer dans les années à venir.  

Les avis sont très controversés : de nombreux élèves trouvent que ce projet est une bonne idée, et sont heureux de voir que leurs avis sont écoutés et pris en compte. Une élève nous a expliqué que pour elle, ce projet est une bonne opportunité qui permet d’aborder des thèmes importants, dont on ne parle pas habituellement. De plus, cela permet aux élèves de s’exprimer et de prendre part activement à la vie scolaire, d’avoir des responsabilités et de s’approprier des sujets, de s’exprimer dur des sujets qui les concernent.  

 Cependant, nous avons aussi eu l’occasion de discuter avec certains élèves avec des avis différents : pour un élève de quatrième, ce projet est inutile car il se sent bien au LFA et ne voit pas quoi y améliorer. Beaucoup d’élèves, au contraire, ne sont là que parce que c’est obligatoire et ne participent pas activement aux discussions. Pour certains, le projet est une perte de temps : il n’ y a que quelques rares groupes avec des idées intéressantes et beaucoup d’idées inutiles car elles ne sont pas réalisables. Pour certains, il est inutile que les élèves donnent leur idées car il est difficile de changer les choses, les élèves n’ont pas le pouvoir de réaliser les idées qu’ils proposent. Ils trouvent le principe du barcamp intéressant mais craignent que les projets n’aboutissent jamais et regrettent que ce ne soit pas assez concret. 

Cependant, certains sont plus optimistes et sont persuadés qu’avec quelques changements, il serait possible d’améliorer les choses. Ils déplorent cependant que les élèves, laissés seuls dans les classes, étaient souvent trop dissipés pour discuter et ils suggèrent de mettre en place plus de surveillance : un professeur dans chaque classe idéalement. Plusieurs élèves plus âgés nous ont fait la même remarque, en  ajoutant cependant que ce problème n’est pas dû à un manque d’organisation mais au fait que les élèves de quatrièmes ne sont pas assez matures pour gérer seuls un groupe et ont besoin d’encadrement. De plus, des professeurs et des élèves nous ont expliqué que des plus petits groupes auraient permis une réflexion plus poussée et que les groupes trop grands ne permettaient pas à tous de s’exprimer. Enfin, certains élèves auraient aimé avoir plus de préparations, par exemple avoir pu réfléchir aux thèmes qu’ils souhaitaient aborder la veille plutôt que le matin même, plus de temps de réflexion aurait permis des idées plus développées. 

En somme, la majorité des élèves interrogés ont peur que les projets qu’ils ont lancés n’aboutissent pas mais affirment que ce projet aura été une expérience enrichissante.  

Ein Session Beispiel - Digitalisierung und vieles mehr...

Am 10.07.2023 war ich in der Session ,,Digitalisierung ́ ́ am DFG. Zur Zeit gibt es das 4-jährige Handyverbot an der Schule. Man kann denken,dass viele Schüler Ipads im Unterricht benutzen, aber nichts das passende Budget zur Verfügung haben und dadurch nicht jeder dasselbe Ipad mit derselben Software bekommen kann. Dadurch sollen die Ipads einheitlich vom Staat den Schülern gegeben werden.

Des Weiteren wurde das Format des Vertretungsplans angesprochen. Viele Schüler:innen fordern, dass der Vertretungsplan öfters aktualisiert werden sollte. Manche Schüler sehen am Morgen, dass ihr Unterricht entfällt und sehen dann später, dass sie geändert wurden. Somit fahren Schüler:innen von Frankreich eine Stunde lang zur Schule obwohl sie anstatt um 5 aufzustehen erst um 6 hätten aufstehen können.

Eine weiterer Verbesserungsvorschlag war, dass der Vertretungsplan die ganze Woche anzeigen sollte, jedoch war das Gegenargument, dass die Schüler sehen, dass sie zum Beispiel am Donnerstag die Ersten beiden Stunden frei haben und wenn das danach nochmal geändert wird, dass sie dann sagen, dass sie nicht in den Unterricht gegangen sind, weil sie gesehen haben, dass sie frei hatten.

Noch ein Bereich der Digitalisierung an der Schule war der Klausurenkalender, in dem alle Lehrer die Termine und Klassenarbeiten eintragen. Die Idee war, dass der Kalender auch für die Schüler:innen zugänglich sein sollte, damit dir Schüler:innen die Lehrer:innen nicht ständig fragen, wann die nächsten Klassenarbeiten sind. Das erleichter die Lehrer und die Schüler lernen das Engagement.

Die letzte Idee, die ins Plenum geworfen wurde, war das Handyverbot auf dem Schulgelände. Man darf kein Handy auf dem Schulgelände benutzen, aber man darf es außerhalb benutzen. Somit stellen sich viele Schüler:innen einen Meter vors Gelände

und benutzen ihr Handy. Dasselbe sehen wir auch bei den Lehrer:innen, die

auf dem Schulgelände nicht rauchen dürfen, sondern stellen sich vors Gelände der Schule und rauchen. Manche Schüler werden von Lehrern gebeten, sie vom Schulgeländer weiter zu entfernen.Die Lehrer jedoch nicht.

Ich finde Barcamps sehr toll und vorteilhaft für die Kommunikation zwischen

Lehrern und Schülern. Sie fördern das Engagement der jeweiligen Schüler

und bringt Spaß in das Ganze.

Barcamp am DFG/LFA: Freisprechen wirklich möglich mit Lehrern anwesend?

 Während des Barcamps, dass für die Klassen 8. bis 10. am Montag den 10.07 stattfand, stellten wir uns die Frage ob man während der Gespräche zwischen Schülern und Lehrern wirklich so frei sprechen kann wie vorgesehen. 

Während des Vormittags wurden verschiedenste Themen besprochen wie z.B. die Position der Direktion, Sitzplätze im Pausenhof der Sporthalle. Um die Gleichberechtigung von Lehrern und Schülern zu garantieren, wurden Regeln wie das Dutzen von Lehrern, sowie die Selbstbestimmung der Hosts was die Gestaltung der Sessions angeht, aufgestellt.

Während manche Beteiligten sich mehr Lehrerpräsenz in den Räumen gewünscht haben um für mehr Ordnung während den Sitzungen zu sorgen, hatten manche das Gefühl, dass die Präsenz der Lehrer ein komplett offenes Miteinander verhindert hat. Besonders bei Themen wie die Macht der Direktion in der Schule, hatten mehrere im Nachhinein befragte Schüler, ausgedrückt, dass sie das Gefühl hatten nicht ganz offen sein zu können. 

Abschließend kann man sagen, dass das Barcamp eine gute Gelegenheit für die Schüler ist sich auszudrücken und Probleme anzusprechen, allerdings müssen noch einige Aspekte verbessert werden, damit die Schüler vollkommen offen über ihre Ansichten reden können.
  

My Barcamp Experience : Productivity and the work ethic in 3 different sessions

On July 10th, we had the first Barcamp at our school. During the introduction of the Barcamp, the students seemed eager to start the discussions and to tell other people about their way to make our school a more comfortable and safe space for everyone. The teachers explained the rules of the Barcamp, which included respect and the ability to switch groups if you wanted to.

It was to my disappointment that we were only there as ‘journalists’ and it was our job to observe, rather than to share our ideas too.

After the project and the different groups were introduced, we were able to split up into the classrooms with ideas we liked and I decided to join a group, whose idea it was to open our gym during breaks to students. Their suggestion was simple: Students could bring footballs or basketballs to school and could play during the two short breaks. 5th and 6th Graders would be allowed to play on Mondays, 7th and 8th Graders on Tuesdays and so on. On Friday, a big sports game would be organised, where all Grades could participate. Even though the group consisted of mostly young students from the Middle School (Mittelstufe), they discussed calmly, asked questions and found solutions for each problem that they found. It was a calm, organized atmosphere where you could work and suggest more options for their amazing idea. By the end of our work time, a plan was made to make the break even better and more enjoyable.

But as it turned out, not all the groups were able to enjoy such a positive atmosphere. I joined a second group with the idea to organize a football tournament for all the students. Apparently, there was either a huge misunderstanding or the students were not willing to work seriously, because instead of collecting ideas, they started planning a tournament for the next 40 minutes in a loud environment full of yelling, running and kicking 8th Graders. I was not able to interfere and therefore had to wait for a teacher that calmly told them to be quiet. What followed was a 10 minute period of more or less serious work to organize the tournament but shortly after discussing minor details of their project, things went back to how they were before. Two or three students were working at the front of the room, while more than 20 students were watching videos on their phones, kicking a ball around or yelling. The working atmosphere was horrible and I noticed a huge contrast between this group work and the one before. Surprisingly, both of these groups consisted of the same amount of students of the same age. Only the group leaders had more authority in the first group, which they achieved by shushing the other students and talking with a strong voice. In the end, half the group had left the room and not a single idea had been exchanged.

The last group in the third session worked surprisingly well, regarding the ridiculous idea to exchange the bell at the end of each break with music. I did not think that this project would work, but the group leader was able to control a classroom full of children of every age group and managed to establish a comfortable working space. Suggestions were coming in from everywhere, the students were asking questions and found problems which they quickly countered with solutions. I observed that this group was by far the most productive and was even able to discuss other problems after completing their task. They worked responsibly and knew exactly how they wanted this project to happen next year.

In conclusion, the first Barcamp was a great experience but some authority is sometimes needed in groups with a lot of young people, otherwise, the goal of the project, which is productivity and collecting ideas, cannot be achieved.

Artikel von Schülern der Klasse 1L1